Le trajet a duré environ deux heures, mais il fallait s’éloigner suffisamment pour qu’ils ne croisent personne qu’ils connaissaient. Thierry les a donc conduits jusqu’à Racine. Juste assez loin.
Il avait entendu parler de ce bar par un ami qui venait de la région et qui y était allé. C’était un endroit où les trentenaires et les quarantenaires « jeunes d’esprit » allaient s’amuser. L’été était enfin arrivé et cela se voyait à la façon dont les femmes s’habillaient.
Hilarie portait une robe d’été, mais elle n’avait qu’une jupe. C’était une de ces robes en tissu léger qui, si le vent soufflait, s’envolait. Elle était coupée assez court, surtout pour elle. Thierry adorait qu’elle porte des vêtements qui mettent en valeur ses jambes très fines et en pleine forme. En plus de cela, elle portait une chemise blanche à bretelles spaghetti, assez décolletée. Elle avait une belle poitrine – surtout pour ses 37 ans – mais ne le pensait pas elle-même. Thierry était prêt à se contenter du haut qu’elle se sentait à l’aise de porter. Il aimait qu’elle ait l’air sûre d’elle. Elle avait l’air sacrément sexy.
Elle complétait l’ensemble chic avec des escarpins noirs, des bagues aux pouces et à la plupart de ses autres doigts.
C’était le genre d’endroit où, lorsque de nouveaux arrivants se présentaient, les gens faisaient attention, mais ce n’était pas comme si l’aiguille du disque sautait et que les conversations s’arrêtaient. Thierry a remarqué qu’un groupe de quatre hommes à côté de l’entrée regardait Hilarie et se poussait les uns les autres pour qu’ils jettent un coup d’œil. Quelques filles près du bar lui ont donné le coup d’œil de haut en bas que toutes les filles se donnent entre elles.
C’était un endroit confortable. Il y avait une salle assez grande à l’arrière, juste après la table de billard, et on aurait dit qu’un groupe était en train de se préparer à jouer.
« Oh, cool », pense Thierry. « Bon, qu’est-ce que tu veux au bar, ma beauté ? »
« Ouais, je sais ce que je veux », dit Hilarie en lui donnant un coup de coude. « Que dirais-tu d’un rhum et d’un coca light ? »
« Je t’ai eu, un double rhum, retiens le coca », dit Thierry en riant et en se dirigeant vers le bar.
Hilarie s’est dirigée vers une cabine près de la fenêtre, à quelques pas de l’extrémité du bar. Thierry est revenu avec sa boisson et une bonne grosse limonade pour lui.
« Et voilà. Il y en a bien d’autres là-dedans », dit Thierry en levant son verre pour porter un toast. Ils ont fait tinter leurs verres, ont bu et ont contemplé le paysage.
« Ça a l’air d’être un endroit assez cool, hein » ? demande Thierry.
« Ouais, ça a l’air bien », a répondu Hilarie.
« C’est incroyable la façon dont tout cela s’est déroulé », a déclaré Thierry. « Ton mari est parti, ma femme est partie et on s’occupe des enfants. Quand diable pourrons-nous à nouveau sortir et passer une nuit dans un motel ? »
« Sans aucun doute », répond Hilarie avec joie.
Ils passèrent les quelques minutes suivantes à bavarder sans rien faire, à observer les gens et à faire des commentaires sur les autres dans le bar. L’endroit était de plus en plus bondé, probablement en prévision du début du groupe à 9h00.
Il était environ 20 h 45 et un groupe de quatre hommes se tenait près de leur stand depuis cinq minutes, attendant que le barman les serve. Ils ont découvert au moins quelques-uns de leurs noms quand Simon s’en est pris à David pour sa bouche vulgaire.
« Ferme ta gueule, David ! » dit Simon en riant. « On a une dame dans la cabine d’à côté ! »
« Oh putain ! » dit David à voix haute. « Pardon pour mon langage ! » Et tout le groupe s’est mis à rire.
L’un des autres gars de leur groupe, dont Thierry et Hilarie n’ont pas saisi le nom, s’est penché à l’oreille de David et a chuchoté quelque chose pendant qu’ils semblaient la regarder. Ils ont tous les deux hoché la tête et ont ri de bon cœur.
« Aw c’est bon », a dit Hilarie en affichant son sourire à un million d’euros. « J’ai déjà entendu des gros mots ! »
Ils ont tous ri. Ils avaient l’air d’une bonne bande de gars. C’est toujours agréable de se sentir à l’aise avec les gens du coin quand on est sur leur territoire. Ils avaient tous l’air d’avoir la trentaine. De beaux gars, habillés pour sortir un vendredi soir au bar du coin pour draguer les filles et gagner de l’argent.
Le groupe a commencé à jouer quelques minutes après 21 heures et Thierry a demandé à Hilarie si elle voulait aller à l’arrière. Beaucoup de gens se sont dirigés vers l’arrière quand le groupe a commencé et la zone du bar s’est un peu éclaircie.
« Bien sûr, allons-y », dit-elle.
Sur ce, ils ont pris leur voiture et sont repartis, en disant aux quatre gars qu’ils pouvaient avoir leur cabine.
La salle où jouait le groupe n’était pas aussi grande qu’elle le paraissait depuis le bar. Ils ont réussi à obtenir une table surélevée dans un coin reculé. Beaucoup de gens dansaient, donc ils ne pouvaient pas vraiment voir le groupe, mais au moins, c’était une table avec deux chaises. Il y avait aussi des poteaux carrés à quatre endroits dans la salle, ce qui rendait la vue sur le groupe encore plus difficile.
Hilarie en était à son deuxième rhum-coca et Thierry a pensé que c’était une bonne idée de commencer à jouer « À quelle hauteur puis-je frotter la cuisse de Hilarie ? » Thierry aimait plaisanter sur le fait qu’il s’agissait d’un jeu populaire, apprécié par de nombreux lycéens de Monroe à la fin des années 80. Hilarie pensait que ce n’était pas drôle du tout.
Vers 21 h 45, juste avant la première pause du groupe, Simon, David et leurs amis sont revenus et se sont placés près de leur table, sans même remarquer que Thierry et Hilarie étaient assis à la table voisine.
« Hey ! » Thierry dit, en essayant de se faire entendre au-dessus du groupe de rock, « Vous nous suivez ? ».
« Oh hi ! » dit Simon. « Ouais, on voulait être près de tous les gens cool ! »
Thierry se présente à Simon avec Hilarie. Ils pouvaient distinguer « Je suis Simon, voici David… » mais c’était à peu près tout. C’était trop fort.
Thierry et Hilarie ont hoché la tête et souri comme s’ils avaient entendu tout ce que Simon avait dit. Il est venu se placer plus près d’eux et ils ont fait un peu de conversation.
« D’où viens-tu ? »
« Oh, c’est un long chemin à parcourir. Comment se fait-il que tu aies décidé de venir ici ? »
« Oui, c’est un endroit amusant. »
« Le groupe est très populaire par ici ».
Ce genre de choses. Au bout de quelques minutes, Thierry dit : « Je peux vous offrir un verre à toi et à David ? Je vais nous chercher quelque chose de toute façon. »
« Bien sûr », dit Simon. « David ! Qu’est-ce que tu veux ?! UN MGD ?! Oui, deux de ces boissons seraient parfaites. »
Thierry est parti chercher les boissons et est revenu. Simon et David se tenaient tous les deux à la table, discutant avec Hilarie, souriant et riant.
« Hé, voilà pour vous », dit Thierry. « Cul sec ! »
« Hilarie, comment se fait-il que tu ne sois pas en train de danser ?! » dit David. « Tu es à peu près le seul chic ici à ne pas être sur la piste de danse ! »
« Il ne danse pas ! » dit-elle en désignant Thierry.
Ils ont tous les deux regardé Thierry en riant.
« Qu’est-ce qui ne va pas chez toi, mon garçon ? » dit Simon. « Sors de là avec elle ! »
« Oh non », répond Thierry. « Mes jours de danse sont bien derrière moi. Pas ce type. N’hésite pas à y aller ! »
Et sur ce, Simon, lui a pris la main et a entraîné Hilarie sur la piste de danse. Ils ont disparu dans la foule. Thierry et David sont restés à la table et ont discuté. Les Brewers et leur dernière série de victoires étaient le sujet principal.
Simon et Hilarie sont sortis vers la fin de « Gimme Me 3 Steps ». À la fin de cette chanson, le chanteur a dit : « Très bien, on va en faire encore une avant de faire une pause et on revient tout de suite. » Et c’est ainsi qu’ils ont entamé « Freebird », l’infâme ballade lente.
« On y va ? » dit Simon.
« Eh bien, pourquoi pas ? » Hilarie rit. « Il nous faudra une éternité pour retourner à la table de toute façon, avec tous ces gens ».
Simon a posé ses mains de chaque côté de sa taille et elle a levé les siennes sur ses épaules pour se blottir poliment plus près, dans une pose formelle de slow.
« Dommage qu’il ne veuille pas danser avec toi », dit Simon en la regardant. « C’est sa perte. »
« Ouais. Le rabat-joie », dit-elle en riant.
Il pouvait sentir le léger parfum du rhum dans son haleine et il s’est alors rendu compte qu’elle était en train de se faire boucler. Il a regardé ses yeux et a remarqué qu’ils étaient presque en état d’ébriété. Pas beaucoup, mais suffisamment pour voir qu’elle était en train de prendre un très bon coup. Sur ce, il s’est retourné pour voir la direction de la table. Le mur de gens ne permettait pas du tout de voir la table.
« Oh, mec… » se dit-il.
« Mec, je ne me sens pas à ma place ici », lui dit-il.
« Qu’est-ce que tu veux dire ? »
« Regarde tous ces mecs ici qui se tripotent le cul », a-t-il dit. « J’ai l’impression d’enfreindre une règle ».
Et sur ce, il a bougé ses mains un tout petit peu comme s’il les repositionnait. Mais ce faisant, il les a fait glisser de quelques centimètres le long de sa taille.
Avec tout le bruit (et l’alcool), Hilarie n’a pas pu entendre ce qu’il a dit. Tout ce qu’elle a fait, c’est sourire et dire « Ouais ! ». Une réponse généralement sûre dans n’importe quelle situation.
C’est à ce moment-là que Simon a commencé à bander. N’ayant pas baisé depuis 3 semaines ou ne s’étant pas masturbé depuis environ 4 jours, il s’est mis à bander vite et fort.
Encore une fois, Simon a « repositionné » ses mains et les a déplacées un peu plus bas, cette fois-ci en palpant juste le haut de son cul. En même temps, il la rapproche un peu plus de lui, leur entrejambe se rapprochant légèrement, mais pas de façon évidente, selon Simon. Ce faisant, il l’a regardée de près pour voir s’il pouvait déceler une quelconque réaction.
Hilarie savait qu’elle n’entendait pas tout ce qu’il disait. Quelque chose comme « … des gars comme ça et le respect des règles… » Elle a aussi remarqué qu’ils s’étaient rapprochés, probablement à cause de la piste de danse bondée. Les gens l’ont vraiment inondée pour la dernière avant la pause, et une chanson lente de surcroît.
« Est-ce que c’est une érection qu’il a en quelque sorte en se frottant contre moi ? » se dit-elle. « Il ne me drague pas ou quoi que ce soit d’autre. Ce n’est probablement rien. »
Hilarie ne se doutait pas qu’elle était en train de se saouler.
Du côté de Simon, il ne sentait aucune résistance. Elle ne s’est pas jetée sur lui, mais elle ne l’a pas giflé et ne s’est pas éloignée non plus. Bien sûr, ce n’est pas comme s’il l’avait attirée et lui avait fait comprendre qu’il bandait. Il a décidé que puisqu’il était si tôt et qu’il n’était pas sûr des signaux qu’elle donnait, il jouerait la carte de la sécurité.
La chanson s’est terminée et ils ont lutté contre la foule pour retourner à la table. Thierry et David étaient en pleine conversation et ont salué le couple de danseurs.
« Je parlais juste de baseball », dit Thierry. « Il devait y avoir pas mal de monde là-bas, hein ? »
« Oui », répond Hilarie en s’éventant le visage. « Bondé, chaud, malodorant », et elle a ri.
Thierry a remarqué qu’elle prenait une grande gorgée de sa boisson, puis une autre.
« Oh, Thierry va s’envoyer en l’air ce soir », se dit-il en souriant.
« D’accord, laisse-moi prendre la prochaine tournée », dit David. « La même chose pour tout le monde ? »
« Oh cool. Oui, je peux prendre une autre limonade. Hilarie ? »
« Bien sûr, pourquoi pas ? » dit-elle en engloutissant la dernière partie de son rhum-coca.
Sur ce, David et Simon se dirigent vers le bar bondé, maintenant plus rempli avec le groupe en pause.
« Mec, » dit Simon à David, « elle est sacrément sexy, tu trouves ? ».
« Tu sais », répond David, « honnêtement, je ne l’ai pas regardée de si près. Elle est attirante, je te l’accorde. Je la regarderai de plus près à notre retour et je te le ferai savoir. »
« Ouais, mec, dit Simon, jette un coup d’œil. J’ai un peu tâté les possibilités sur la piste de danse mais je n’ai pas vraiment fait de mouvements. »
» ‘Possibilités?’ » dit David. « Son mec est là. Qu’est-ce que tu veux dire par ‘possibilités’ ? »
» Hé, mec, on ne sait jamais. On est en 2010, mec ! »
» Tu as tout à fait raison sur ce point, mon gars « , a répondu David.
De retour à la table, Thierry a demandé à Hilarie si elle s’amusait bien.
« Ouais, c’est un endroit cool », a-t-elle répondu en souriant.
« Tu t’es amusée à danser ? » a-t-il demandé.
« Bien sûr ! »
Simon et David reviennent avec les boissons.
« Très bien, c’est parti », dit David. « Désolé d’avoir mis autant de temps. Le bar est un véritable zoo. »
« Ce n’est pas grave », dit Hilarie, « c’est gratuit ! »
Ils ont tous ri. Des bavardages s’ensuivent et avant qu’ils ne s’en rendent compte, le groupe joue à nouveau. Ils ont regardé, écouté, bu et ri. Il était difficile d’entendre ce que quelqu’un disait à moins d’être tout près de l’oreille de la personne.
C’est alors que David dit : « Très bien Thierry, tu es prêt à danser ! Allons-y ! »
Ils ont tous ri.
« Eh bien, » commence Thierry, « normalement je le ferais mais je suis fanatiquement religieux et je n’ai pas le droit. Sinon, je serais à fond sur cette invitation ! » Il rit de bon cœur à sa propre petite blague.
« OK », dit David, « Hilarie ? »
Et sur ce, ils sont partis dans la mer de corps et ont disparu.
David a tout de suite remarqué que Hilarie était en train de s’enivrer. Elle a failli tomber et il a dû tendre la main pour la faire tenir en équilibre. Il a aussi remarqué l’allure bizarre d’une personne ivre. Pas en titubant, en s’écroulant, mais il connaissait ce regard. Elle était ivre.
« Tu es très sexy ! » dit David. « Dommage que Thierry ne veuille pas danser ! Il rate quelque chose ! »
« Merci ! », a-t-elle crié en retour. « Oui, c’est sa perte ! »
Puis, comme David savait que cela arriverait sous peu, une chanson lente commença. « On va faire quelques slows, dit le chanteur principal, pour que tu puisses trouver la personne qui t’offrira le prochain verre. »
Ils adoptèrent la position du slow et David vérifia instinctivement qu’il était bien revenu à la table. Il n’y avait aucune vue sur la table. Il y avait trop de monde.
« Hé », pensa David, « c’est sa perte ».
David était beaucoup moins timide et beaucoup plus rapide à agir que Simon. David était un beau garçon, doué avec les femmes et il le savait. Il ne savait pas exactement ce qui pouvait se passer avec le mec de cette fille, mais il était sur la piste de danse avec une fille sexy, à l’abri des regards, et il allait faire ce qu’il faisait normalement avec une fille sexy.
Il a été un peu moins formel en adoptant la position du slow. Il l’a rapprochée de lui et a placé ses mains plus bas que Simon. Le bout de ses doigts était sur la rondeur de ses fesses. Il pouvait voir qu’elle portait un string. Du fait de la façon dont il l’a attirée vers lui, ses bras sont allés non seulement sur ses épaules mais autour de son cou et ses mains se sont croisées derrière sa nuque.
Hilarie était ivre. Elle avait déjà été ivre auparavant. Elle n’était pas non plus au bal de fin d’année. Ivre ou sobre, elle savait ce que ressentait une bite dure lorsqu’elle était pressée contre elle lentement en dansant le slow. Elle en a été surprise. Elle n’était pas venue ici avec Thierry en cherchant à se brancher avec quelqu’un d’autre. Elle comptait bien se faire baiser ce soir, mais pas par quelqu’un d’autre que Thierry.
Elle sentait qu’il faisait exprès de l’attirer vers lui pour qu’elle sente sa trique. Elle ne voulait rien laisser paraître en se retirant, alors elle a gardé sa position. Hilarie s’est dit que si elle ne s’éloignait pas ou ne se rapprochait pas, il ne bougerait pas non plus.
Leurs têtes étaient côte à côte, alors ce n’est pas comme s’ils pouvaient se voir dans les yeux. Cela ne pose aucun problème à Hilarie. Elle ne savait pas quelle tête elle ferait une fois qu’elle aurait réalisé qu’il bandait.
David remarqua que ses pouces passaient sur la partie dénudée de son dos, là où son haut n’atteignait pas tout à fait le haut de sa jupe.
« Ah, la mode d’aujourd’hui… » se dit-il. « J’aime vraiment ce pays », et il a souri.
David n’avait pas du tout le mal en tête. Mais il était avec une belle fille bourrée et, que son mec soit là ou non, c’était lui qui était avec elle sur une piste de danse où personne ne pouvait les voir. Il allait voir jusqu’où il pouvait aller. C’était une longue chanson de Crosby, Still & Nash et il pensait qu’ils en joueraient au moins deux autres. Il savait qu’il avait un bon quart d’heure devant lui.
Il a frotté ses pouces de haut en bas sur sa peau nue. Cela a duré environ 30 secondes, puis il s’est arrêté.
« Hé, elle ne s’est pas enfuie », se dit-il. « C’est bon signe. »
En regardant autour de la piste de danse, il a pu voir qu’il y avait un nombre quelconque d’agressions sexuelles au 4e degré en cours. Enfin, pas vraiment des agressions parce que les filles ne se gênaient pas du tout. Ce n’est donc pas comme si quelque chose qu’il pouvait faire attirerait vraiment l’attention.
Il a glissé ses mains un peu vers le haut, se glissant sous son haut, juste un peu. En fait, ce ne sont que ses doigts qui se sont glissés dessous. Il caresse lentement. Il n’y a toujours pas de réaction négative. « C’est bien », se dit-il.
Il s’est déhanché davantage et elle a suivi ses mouvements. Il avait déjà dansé avec quelques filles qui l’avaient pratiquement baisé sur la piste de danse, alors il avait une idée de la façon de bouger et d’être sexy.
Puis il a descendu ses mains plus bas, glissant ses doigts dans le haut de sa jupe, dépassant le haut de son string jusqu’à ses fesses nues et chaudes.
« OK, » pensa-t-il, « maintenant nous allons voir comment elle réagit. C’est beaucoup plus évident. »
Hilarie a remarqué ce qu’il faisait. Elle pensait qu’il faisait juste ce que tout le monde faisait sur la piste de danse, un peu par habitude. « Bon sang », se dit-elle, « Thierry peut le voir ».
En pivotant, elle a pu déchiffrer que la vue depuis leur table était totalement occultée par tous les gens. Elle était gênée à l’idée que Thierry puisse voir ce que faisait ce type. Ce n’est pas comme si elle était allée sur la piste de danse avec l’intention de faire de la danse cochonne avec lui ou de faire quoi que ce soit.
Lorsqu’il a glissé ses doigts sous son haut, il l’a serrée un peu plus contre lui. Elle l’a remarqué mais, encore une fois, n’a rien fait pour résister. « N’en fais pas toute une histoire », pensa-t-elle. « Ce n’est probablement rien. »
Lorsqu’il a passé ses doigts à l’intérieur du haut de sa jupe et a atteint la peau nue sous son haut de string, elle était sûre que ce n’était pas un accident ; qu’il préparait quelque chose. Mais elle ne savait pas quoi.
Juste à côté d’eux, il y avait un couple et le chic était vraiment gros. Le type qui dansait avec elle était vraiment ivre. Son partenaire n’avait pas l’air de s’en préoccuper, car ses deux mains agrippaient deux fesses vraiment grosses dans un jean qui aurait été trop serré pour une fille de la moitié de sa taille.
« Comparé à ce qu’ils font », pense-t-elle, « ce que fait David n’est rien. Personne ne le remarque. »
Alors qu’un slow cédait la place au suivant, David l’a attirée de plus près. À ce moment-là, elle pouvait vraiment sentir à quel point il était dur. Elle savait que ce n’était pas seulement un repositionnement qui la rapprochait. C’était plutôt du genre « J’ai une bite dure pour toi, bébé ».
Pour Hilarie, ce n’était pas seulement cette chose dure qu’elle sentait dans son entrejambe. C’était une longue chose, sans aucun doute une grosse bite. Avant cela, ils étaient positionnés de façon à ce que leurs parties médianes se touchent simplement. Ils n’étaient pas vraiment à plat l’un contre l’autre. Cela a changé lorsqu’il l’a attirée à lui pour la dernière fois.
Elle ne portait pas de ceinture et le tissu de sa jupe et de son haut était assez fin ; c’était l’été après tout. Leurs parties médianes étaient maintenant à plat l’une contre l’autre et elle pouvait le sentir. Il était plus grand qu’elle et son entrejambe était plus haut que le sien.
Il lui a fallu quelques secondes pour tout comprendre. Oui, elle savait qu’il était dur et qu’il était contre elle. Mais il lui a fallu un peu de temps pour réaliser que ce type avait manifestement une putain de grosse bite !
Bizarrement, et ça l’a presque fait glousser, sa première pensée a été : « Si elle était bien droite, elle sortirait de son pantalon ! »
Hilarie le sentait de travers dans son pantalon. Elle avait presque envie de dire : « Je suis sûre qu’il ne fera pas si noir que ça, tu n’auras pas besoin de cette lampe de poche dans ton pantalon. »
À cette pensée, elle a tout de même gloussé un peu.
« Qu’est-ce qu’il y a de si drôle ? » demande David.
« Oh ! Rien ! » dit-elle. « Juste les gens en général. »
« Oui, ils sont drôles », dit-il.
Sur ce, il a glissé ses mains entières dans sa jupe et l’a tirée à lui. Ce faisant, il a légèrement poussé ses hanches vers l’avant. Elle l’a attrapé par le cou et s’est laissée entraîner.
Hilarie n’avait pas prévu de le faire, mais cela l’excitait.
David était un beau garçon, bien bâti. La façon dont il utilisait ses mains sur elle était forte, confiante. Il bougeait d’une façon très sexy. Tout le scénario était sexy. Il y avait quelque chose de coquin dans une manière sexuellement excitante de faire cela pour que Thierry ne puisse pas voir ce qui se passait.
Il a baissé la tête et a posé sa bouche sur sa nuque, un peu à l’écart, juste sous ses cheveux, et lui a caressé le cou. Ce faisant, il a utilisé ses mains puissantes pour saisir fermement chaque petite fesse chaude sous sa jupe. Hilarie enfonça ses ongles dans son dos et fit tournoyer ses hanches dans les siennes. Elle sentait encore plus fortement qu’avant à quel point il était dur.
« Bon sang », pensa-t-elle. « C’est de la folie. Il faut que cette chanson se termine. »
En tant que fille très polie, elle ne pouvait pas quitter la piste de danse en plein milieu de la chanson. Mais il y avait aussi une partie d’elle qui ne voulait pas que ça se termine. C’était totalement inattendu et, comme elle était ivre, elle réagissait simplement à ce qui était là, à ce qui se passait.
La chanson s’est finalement terminée et le groupe a fait sa deuxième pause. Ils retournent à la table et trouvent Thierry et Simon en train de parler.
« OK ! » David dit : « C’est l’heure d’une autre tournée ! C’est moi qui paie ! » Et il est parti vers le bar.
« Je vais dans les toilettes des petites filles », dit Hilarie. « Je reviens tout de suite. »
Elle a laissé Thierry & Simon à la table et est partie aux toilettes pour dames.
Quand elle est revenue, elle a trouvé les 3 gars à la table, en train de discuter, avec son verre prêt pour elle. Elle a pris un verre.
« On a des problèmes », dit David.
« Des problèmes ?! » Hilarie a dit en riant. « Comment pouvez-vous avoir des problèmes un soir comme ce soir ? »
« Eh bien, l’ex-petite amie de Simon et le connard de nouveau petit ami sont ici et prêts à causer des problèmes », a expliqué David. « Simon et moi avons besoin d’appeler ça une nuit ».
« Oh mec », dit Thierry. « Ça craint ! Vous ne pouvez pas encore partir. »
« Normalement, on resterait dehors jusqu’à l’heure du bar », a dit Simon, « mais ça va mal finir si on reste. Même si on allait dans un autre bar, on tomberait sur eux ce soir encore. C’est une mauvaise nouvelle. »
« Eh bien, on s’en fout », dit Thierry. « Plions cette tente et dirigeons-nous vers notre chambre d’hôtel ! Nous avons une chambre au Country Inn, juste en bas de la route. »
Thierry a regardé Hilarie et son visage ne montrait ni approbation ni désapprobation de l’idée.
« D’accord », dit Simon. « Faisons-le. »
Ils ont chacun pris quelques gorgées supplémentaires de leurs boissons et se sont dirigés vers la nuit d’été.
« Hé, » dit Thierry, « vous montez avec nous. Vous ne voulez pas vous faire arrêter pour conduite en état d’ivresse. »
« D’accord », répond David. « Si tu le dis ! » Ils rient.
Thierry et Hilarie s’entassent à l’avant du chariot, David et Simon à l’arrière et ils descendent la rue jusqu’à l’auberge de campagne.
Quand ils sont arrivés dans leur chambre, il était environ 11h30. On entendait le bruit d’une fête assez bruyante dans la chambre voisine et dans une autre au bout du couloir. Ils sont entrés dans leur chambre et ont allumé la radio sur la station de rock locale. Ils ont dû mettre le son assez fort pour l’entendre par-dessus le bruit de la chambre voisine. Heureusement, les deux chambres avaient la même station de radio. C’était un véritable effet stéréo.
La chambre était en fait une suite, très agréable. Quand tu entres, il y a une très grande salle de bains à gauche et une autre plus petite à droite. Un placard se trouvait à gauche de la plus petite salle de bains. Ensuite, deux marches descendaient vers un petit espace de type salon sur la droite et une petite cuisine sur la gauche. Derrière, il y avait la grande chambre à coucher. Cette configuration offrait beaucoup d’intimité. D’une pièce à l’autre, la chambre du fond était pratiquement entourée d’un mur. Thierry aimait cela. Surtout pour ce qu’il espérait qu’il se passerait ce soir.
Thierry avait fait de son mieux pour se retenir pendant qu’il était au bar et il avait maintenant vraiment envie de faire pipi.
« D’accord », dit-il. « Je dois faire pipi. Maintenant. » Il est allé dans la salle de bains et a fermé la porte.
Thierry se disait que cette soirée risquait d’être très intéressante. Hilarie n’aurait jamais accepté de faire un plan à trois auparavant, mais ils étaient là, avec deux autres beaux gaillards dans leur chambre, Hilarie ivre et amicale avec les deux gars. On ne sait jamais. Dans l’état actuel des choses, il allait lui falloir quelques minutes pour faire pipi, il pourrait facilement faire traîner les choses plusieurs minutes de plus. Aussi saoule que soit Hilarie, elle pourrait ne pas s’en rendre compte. Et si ces types étaient de vrais hommes – et juste un peu audacieux – ils utiliseraient ces minutes d’une manière digne des étalons qu’ils semblaient être.
Ces possibilités le font vibrer d’une excitation sexuelle nerveuse. Il pouvait être un vilain garçon. Mais il était aussi convaincu que si quelque chose commençait à se produire et qu’Hilarie ne voulait pas y participer, il y mettrait fin et renverrait les garçons chez eux. Bon, peut-être qu’il leur laisserait un peu de marge si elle se montrait résistante.
Lorsqu’ils sont entrés dans la pièce, ils sont restés debout à discuter pendant quelques minutes. Hilarie s’est appuyée sur la table près du canapé du salon. David est resté debout à côté d’elle et Simon s’est assis sur le canapé. Lorsque Thierry est entré dans la salle de bains, Hilarie s’est installée sur le bord du canapé. Avant qu’elle ne puisse le faire, David a nonchalamment passé ses bras autour d’elle par derrière dans une sorte de position de slow inversé et s’est mis au rythme de la chanson à la radio.
Il l’a attirée à lui et a commencé à se balancer d’avant en arrière. Hilarie a souri et s’est mise à bouger avec lui. Ça n’avait pas l’air bien grave. Les yeux de Simon se sont agrandis. Même si, compte tenu de la disposition de la pièce, David aurait quelques secondes pour se remettre si Thierry sortait de la salle de bain, Simon trouvait que c’était plutôt osé de la part de son homme qui se trouvait juste de l’autre côté de la porte de la salle de bain.
« Hilarie est vraiment une chic chic », dit David à son oreille. « Je parie qu’elle a aussi un côté coquin », et il a gloussé.
Elle n’en a pas fait grand cas, puisqu’ils n’ont fait que danser, comme au bar.
« Oooohhh, je n’en sais rien ! » dit-elle en souriant.
Il l’a fait tourner gentiment et ils ont adopté une position de danse lente régulière. Cette fois, il l’a tout de suite attirée à lui, comme il l’avait fait à la fin de leur slow au bar.
Le rhum l’a vraiment frappée maintenant. Elle n’était pas de plus en plus sobre, elle était de plus en plus ivre.
David l’a attirée à lui et a fait tournoyer ses hanches vers elle. Il était de nouveau très dur. Elle pouvait sentir qu’il était très dur. Il avança la tête et posa sa bouche sur sa gorge. Il lui a donné un coup de langue rapide et significatif de haut en bas.
« Tu aimes ça, n’est-ce pas ? »
« Uhhhh, wellllll », c’est tout ce qu’Hilarie a pu répondre. Sa dureté se pressait contre elle et sa bouche sur son cou faisait durcir ses tétons. Elle pouvait sentir la chaleur de l’excitation dans sa chatte. Elle savait qu’elle commençait à mouiller. Malgré cela, elle n’était pas trop ivre pour savoir que la porte de la salle de bain pouvait s’ouvrir d’une seconde à l’autre et que Thierry pouvait en sortir. Elle devait faire comme si Thierry se tenait là.
« Oh, ne t’inquiète pas », dit David à voix basse. Avec la radio des deux chambres, il n’était pas nécessaire de chuchoter. David parlait juste assez fort pour être entendu. « Il est toujours en train de faire pipi. Je peux l’entendre. »
« Oh, tu peux, n’est-ce pas ? » Hilarie a répondu à sa déclaration diabolique.
Thierry prenait tout son temps dans la salle de bains. « Je lui donne dix minutes et je sors nonchalamment pour voir ce qui se passe. Probablement rien, mais on ne sait jamais. »
Simon, quant à lui, regardait tout cela se dérouler avec beaucoup d’intérêt. Il savait que David était un gros joueur avec les filles, mais ils ne s’étaient jamais retrouvés dans une telle situation. Ils sont tous les deux avec une fille. Une fille sexy. Pour le moment, Simon se contentait de laisser les choses se dérouler.
Mais David n’était pas non plus stupide. Il savait qu’il ne lui restait que quelques minutes avant le retour de Thierry. Sa passion pour cette fille sexy qui lui est tombée dessus par hasard a pris le dessus sur lui. C’était assez risqué. Mais il n’a pas pu résister.
Sentant que c’était maintenant ou jamais, il a pris doucement l’arrière de sa tête et s’est avancé pour l’embrasser. Il pouvait voir qu’elle tournait un peu la tête, résistant. Mais il a déplacé sa tête pour que leurs lèvres se rencontrent. Au début, elle ne lui a pas rendu le baiser. Il a enfoncé sa langue dans sa bouche et a fait tournoyer ses hanches vers elle. Immédiatement, il l’a sentie glisser sa langue dans sa bouche.
Avec la main à l’arrière de sa tête qui saisit une poignée de cheveux, il lui a fait basculer la tête en arrière et a léché sa gorge du haut de sa poitrine jusqu’à son menton. Tout en faisant cela, il a tendu sa main gauche vers son dos sous sa jupe, a attrapé sa fesse droite et l’a attirée à l’intérieur.
Ils ont tous les deux oublié le danger du moment et se sont laissés aller. Elle a poussé ses hanches vers lui et l’a laissé faire.
De sa main gauche, Hilarie a attrapé sa bite à travers son jean. Elle l’a saisie avec le plat de la main pour en mesurer la taille.
Simon n’arrive pas à croire ce qu’il voit. C’est arrivé si vite. Il savait qu’un pipi moyen durait au moins un peu plus longtemps et il espérait que celui-ci durerait beaucoup plus longtemps. Par pure réaction de désir, Simon s’est levé et s’est dirigé vers David et Hilarie qui se tripotaient.
Il s’est placé derrière elle, sur le côté gauche de l’arrière-train, pour ne pas gêner David qui tripotait la fesse droite de son cul. Il a niché son entrejambe contre elle et a fait tourner ses hanches vers elle. Cela l’a un peu surprise et elle a cessé d’embrasser David pour voir ce qui se passait.
« Ne t’inquiète pas, bébé », a dit David et il a replacé sa bouche sur la sienne, l’embrassant.
Simon, avec sa main droite, a passé la main sous sa jupe et a attrapé sa fesse gauche. « C’est un beau, beau cul », a-t-il pensé. Ils sont restés là tous les deux pendant environ une minute à tourner autour d’elle, à tripoter son joli cul, à l’embrasser en alternance et à lui caresser le cou et la gorge.
Simon a ensuite passé la main entre ses jambes, par derrière, et a tâté la zone de sa chatte. Elle a écarté ses pieds pour permettre à ses jambes de s’écarter. Il a habilement écarté son string et a immédiatement glissé son majeur entre les lèvres de sa chatte.
Plus tard, il a juré que sa bite avait grandi quand il a senti à quel point elle était mouillée.
« Tu aimes ça, n’est-ce pas ? » demande Simon.
Elle n’a pas répondu par des mots. Son seul son était un gémissement.
Seul un idiot ne pouvait pas sentir l’urgence de la situation avec son homme de l’autre côté de la porte de la salle de bains. Avec des érections et peu de sang pour faire fonctionner le cerveau, il est étonnant de voir comment deux hommes peuvent rationaliser une situation impliquant une femme sexy qui apprécie ce qui se passe, qu’elle ait un petit ami ou non.
« Je vais te dire, » dit David en retirant sa bouche de son cou. « Allons voir la vue depuis la fenêtre de l’autre chambre. Peut-être qu’il y a une jolie brise qui souffle pour se rafraîchir. »
« Oh, une brise, hein ? » répond Hilarie.
Sur ce, David a passé son bras autour de sa taille et ils sont entrés dans la chambre à coucher à l’arrière de la suite. Et bien sûr, il y avait une petite brise qui soufflait.
« Oh regarde », dit Simon en gloussant. « Un lit aussi… »
David rit aussi. « Oui, mon Dieu. Imagine ça. »
« Oh, et à quoi penses-tu qu’un lit va servir ? » Hilarie demande à travers son état d’ébriété croissant.
« Eh bien », dit David, « on ne sait jamais quand on peut avoir besoin de s’allonger et de se soulager. N’est-ce pas, Simon ? »
David l’a ramenée vers lui et a repris le travail de la bouche sur son cou. Au même moment, Simon a repris la position qu’il avait auparavant. Le sentiment d’urgence était renouvelé maintenant qu’ils se trouvaient dans la chambre arrière. Ils seraient mieux avertis si Thierry sortait de la salle de bains, mais tout de même…
Se déplaçant rapidement, ils ont tous les deux fait tomber leur short juste en dessous de leur entrejambe. Comme il s’agissait de shorts sans boutons et sans fermeture éclair, ils savaient qu’ils pouvaient être remontés en un clin d’œil.
La main droite de Hilarie était posée sur le cou de David et sa main gauche frottait sa bite à travers son short. Quand leurs shorts sont descendus, Simon a posé sa main gauche sur sa bite ; David a pris sa main droite et l’a posée sur la sienne.
« Les gars… » Hilarie commence. « Je ne sais pas… »
« Oh, ça ne va tuer personne », a dit Simon.
Immédiatement, elle a commencé à caresser la bite de Simon. À travers la brume sexuelle, alcoolisée et précipitée qui était son esprit à ce moment-là, son impression était qu’il était dur. Elle a d’abord pensé qu’elle saisissait aussi une partie de son sous-vêtement ou de son short parce que le bout de son pouce ne rencontrait pas le bout de ses autres doigts lorsqu’elle le saisissait. Elle a regrippé pour essayer de secouer le tissu du sous-vêtement ou du short pour l’écarter. Elle n’arrivait toujours pas à atteindre le bout de ses doigts.
C’est alors qu’elle se rendit compte qu’elle n’arrivait tout simplement pas à mettre ses doigts autour de la bite de Simon. Cela l’a fait sursauter, car elle n’avait jamais vécu une telle expérience auparavant. Lors de ses quelques tentatives de regrip, elle avait essentiellement secoué sa bite. Sa longueur n’était pas impressionnante, mais elle était très épaisse. Rien d’autre ne lui est venu à l’esprit à ce sujet ; juste qu’il était épais.
Deux secondes plus tard, elle a retiré sa main droite de la bite de David et a atteint les couilles de Simon. Elle a pris ses couilles dans sa main et les a frottées doucement, comme une femme expérimentée sait le faire avec les couilles d’un homme. Il y a une façon sexuelle de le faire. Pas trop fort, juste ce qu’il faut.
Le fait qu’il soit rasé de près l’a excitée. Cela lui permettait de sentir ses couilles de façon très agréable. Cela l’a incitée à gémir et à pleurnicher encore plus.
Simon a recommencé à lui doigter la chatte pendant qu’elle le branlait et que ses hanches bougeaient à son contact. Il avait travaillé sa main et son poignet sous elle de façon assez experte et pouvait frotter son clitoris avec son majeur. Cela semblait très bien fonctionner avec Hilarie. Ils étaient tous les deux excités par la façon dont elle se déhanchait à son contact.
Elle avait les yeux fermés et se balançait d’avant en arrière pendant qu’elle tournait. Elle laissait échapper un « Mmmmmmmmm… » en bougeant.
Sentant que David se sentait exclu, elle a retiré sa main droite de Simon et a saisi la bite de David. Sa tête était rejetée en arrière, elle se balançait et tournait, et elle a saisi sa bite de toute sa main, la paume tournée vers l’intérieur. Elle n’a pas été surprise de voir qu’elle n’arrivait pas à toucher le bout de son pouce au bout de ses doigts. Elle a secoué sa main de haut en bas et c’est alors qu’elle a remarqué qu’il n’était pas seulement épais.
Hilarie a baissé le menton pour le regarder. Ce faisant, David l’a poussée par les épaules jusqu’à ses genoux.
« Nooooooooon ! » Hilarie a chuchoté à voix haute. « Thierry va sortir. On ne peut pas ! !! »
« Oh ! Oh ! Oh ! » David pleurniche. « Si ! Si, on peut. Juste une seconde ! Je vais regarder ! »
« Non ! Il va sortir ! Il faut que ça s’arrête ! »
« Attends », dit David à voix basse pour ne pas être entendu. « Si nous te déplaçons sur le lit, il ne pourra pas voir l’intérieur depuis la porte de la salle de bain, mais nous pourrons entendre la porte ! Allez ! !! »
Sans attendre de réponse, ils l’ont déplacée vers le lit et l’ont assise. Tous deux se sont ensuite positionnés en face d’elle. David à sa droite, Simon à sa gauche.
Ils sont restés là devant elle, les bites dures et devant son visage.
Chacun a pris une de ses mains – Simon à sa gauche, David à sa droite – et les a posées sur leurs bites. Elle a immédiatement mais lentement secoué chacune d’entre elles et a levé les yeux.
« Les gars, dit-elle, on ne peut pas ! »
« Oh, viens ! » David a dit et a tiré sa tête vers sa bite.
« Non ! » dit Hilarie plus fermement. « Tu dois m’écouter ! »
« Donne-moi juste cette bouche », dit David.
Sur ce, il a saisi sa bite avec sa main droite et a déplacé sa tête jusqu’au bout avec sa main gauche. Simon a déplacé sa main gauche pour continuer à le branler.
« Je ne peux rien faire avec ce truc de toute façon », a-t-elle dit. « C’est trop gros ! »
« Mon Dieu ! » dit David en riant un peu. « Ferme-la et donne-moi cette bouche ! »
Une dizaine de minutes s’étaient écoulées. Thierry a décidé d’ouvrir la porte et de sortir. Il a ouvert la porte lentement sans savoir ce qu’il allait trouver, incapable d’entendre quoi que ce soit à cause du bruit de la radio. Il a fait un pas dans le coin et a vu qu’il n’y avait personne dans la salle de séjour. Il n’y avait pas de lumière allumée à l’intérieur, mais il pouvait voir un peu de lumière venant de la chambre du fond.
« Oh bébé », pensa-t-il. « Peut-être que j’aurai de la chance… »
Aussi silencieusement que possible, il se dirigea vers la chambre du fond. Le lit n’était pas encore visible pour lui alors qu’il s’approchait de la porte. La première chose qu’il a entendue, c’est « -Donne-moi cette bouche ! ».
Immédiatement, il a bandé. « Jackpot ! » se dit-il. Il s’est approché de l’ouverture de la porte jusqu’à ce qu’il puisse distinguer David et Simon debout. Hilarie était assise sur le lit, dos à la porte. Coup de chance.
David a levé les yeux, un air de panique sur le visage. Tout de suite, Thierry a levé les mains en signe de « Hé, c’est bon ! ». Simon l’a vu à ce moment-là. David et Simon ont tout de suite compris le signal. Ils étaient tous les deux très soulagés.
Ils savaient maintenant que le vrai plaisir pouvait commencer.
Thierry s’est déplacé un peu plus loin dans la pièce et ce qu’il a vu, c’est Hilarie qui tenait la bite de David dans sa main droite de haut en bas, et celle de Simon dans sa main gauche. David tenait l’arrière de la tête de Hilarie dans sa main gauche et le bas de sa bite dans sa main droite. La première pensée de Thierry : « Oh mon Dieu ! C’est la bite d’un homme noir ! » Puis David a tiré sa tête vers l’avant, elle a écarté ses lèvres et a pris la tête dans sa bouche.
Hilarie a remonté sa main droite jusqu’à ses lèvres enroulées autour de sa bite et l’a fait descendre un peu d’un coup sec. Thierry a pu voir sa langue sortir et lécher un peu le dessous de la bite, pour la mouiller. La tête de la bite semblait remplir toute sa bouche. Puis les joues de Hilarie se sont gonflées. Elle suçait le bout. Thierry a mis la main dans son propre caleçon pour se branler un peu.
Elle a baissé la tête et mis sa langue à la base de la bite de David, près de ses couilles, et léché vers le haut jusqu’au bout. Simon en a eu assez et a tendu sa main droite vers elle pour déplacer sa tête vers sa bite. Elle a continué à secouer la bite humide de David avec sa main droite.
Hilarie a sucé rapidement et vigoureusement le bout de la bite de Simon, puis l’a léché de la base jusqu’à la pointe. « Il est épais », pense-t-elle. « Mais pas comme David. Bon sang. »
En branlant David, elle a pu sentir l’énormité de sa bite. En la jaugeant par rapport à une bite qu’elle connaissait déjà en termes de taille. Et il y avait encore beaucoup de queue qui apparaissait lorsqu’elle la saisissait.
David avait l’impression qu’il pourrait jouir rien qu’en la regardant le branler et sucer Simon. Ses doigts portaient des bagues à chaque doigt, y compris une bague au pouce, qui avait l’air particulièrement sexy en branlant une bite. Il ne savait pas pourquoi il trouvait cela si sexy, c’était tout simplement le cas.
Elle faisait monter et descendre sa tête sur la bite de Simon à un rythme effréné.
« Whoa », souffle Simon. « Ralentis. Tu n’as pas besoin d’aller si vite. »
Elle a levé les yeux vers lui, sa bite toujours dans sa bouche brûlante, pour reconnaître ce qu’il avait dit. Il l’a sentie faire tourner sa langue sur le dessous de sa bite alors qu’elle balançait lentement sa tête sur toute sa longueur. Elle a frotté ses couilles d’une façon très sexy avec sa main gauche pendant qu’elle le suçait.
David avait besoin de cette bouche. Il lui a donné une petite tape sur la tête et elle a levé les yeux vers lui, les lèvres toujours enroulées de façon sexy autour de la bite de Simon. Il lui a fait signe avec sa queue que c’était son tour.
Lentement, elle a retiré sa bouche de la bite de Simon et a replacé sa tête devant l’énorme bite de David. Elle a continué à la caresser, ne sachant pas trop quoi faire.
Elle la secouait à un angle de 45° par rapport à son ventre et faisait courir sa main sexy de haut en bas sur toute sa longueur. Elle a laissé la bite de Simon très humide, si bien qu’elle glissait très bien entre les doigts de sa main gauche. Hilarie pouvait la sentir palpiter dans sa main. Ce n’était rien, cependant, comparé à celle qui se trouvait dans sa main droite.
La bite de David semblait forte. Comme si elle était vivante. Elle l’a saisie plus droite de haut en bas et a penché la tête en avant pour la lécher à nouveau de bas en haut.
« Lèche mes couilles », dit David.
Elle a baissé la tête et a passé sa langue sur ses couilles dans un mouvement de balayage. David a rejeté la tête en arrière.
« Ohhhhhhhhhhhhhhhh ! », halète-t-il.
D’une main experte, elle a pris la droite dans sa bouche et l’a fait rouler un peu. Elle l’a sucé.
« Ouais, suce-les ! » dit David avec impatience.
Elle l’a sucé plus fort. Elle les a léchés tous les deux. Elle a essayé de les prendre en bouche en même temps mais n’y est pas parvenue. Elle a sucé celui de gauche.
« Dieu yesssss ! » lâche David.
Elle l’a sucé plus fort.
« Ouais, suce ce truc, Hilarie ! » dit-il.
Elle n’arrivait pas à croire à quel point sa bite et ses couilles étaient fortes.
« Sa bite est dure », se dit-elle. « Je n’ai jamais senti une bite comme ça avant ».
Hilarie s’est alors glissée sur le bord du lit, s’est levée et a passé la main sous sa jupe pour enlever son string. Puis elle s’est mise à genoux entre eux et a repris sa prise sur leurs bites. Elle est retournée sur la bite de David, léchant ses couilles, léchant toute la longueur de la bite. En même temps, ils ont pu voir que sa main gauche avait quitté la bite de Simon et qu’elle se frottait la chatte.
La voir faire cela a presque poussé Simon à bout. Il voulait la mettre sur le lit, à quatre pattes, et la clouer à ce moment-là. Mais il est resté patient. Il se contentait de la regarder travailler sur la grosse bite de David.
« Oui, c’est ça », dit David en la regardant, « travaille cette bouche. Montre-moi ce que tu sais faire. »
Il s’est également rendu compte que, comme eux, elle devait être tellement excitée qu’elle ne se souciait plus de qui pourrait sortir de la salle de bains et les attraper. C’était un très bon signe pour David et Simon.
David demanda alors : « Alors dis-moi, Hilarie, que penses-tu de cette bite ? »
Elle a retiré sa main gauche de sa chatte et l’a posée sur sa hanche droite. « Elle est énorme. Bon sang. »
« Et qu’est-ce que tu aimerais faire avec cette énorme bite ? » demande David.
« Qu’est-ce que tu veux que j’en fasse ? » demande-t-elle en levant les yeux vers lui.
« Eh bien, j’aimerais que tu l’entoures de tes lèvres et que tu l’avales ».
« Hah ! Ça n’arrivera pas », dit-elle en gloussant.
En déplaçant sa main droite à l’arrière de sa tête et en la guidant vers sa bite, il a dit : « Eh bien, voyons si tu essaies quand même. »
Elle a ouvert ses lèvres et a mis la tête de sa bite dans sa bouche. David en avait assez d’être patient et il a poussé ses hanches un peu en avant et lui a donné environ 14cm de sa bite. Hilarie avait sa main droite autour de la base de la bite et sa main gauche allait à sa cuisse droite pour essayer de contrôler sa poussée.
David était suffisamment excité pour avoir envie de lui baiser la bouche et de l’enfoncer dans sa gorge. Il savait aussi qu’il ne voulait pas qu’elle vomisse sur sa bite. Pour David, le vomi et le sexe ne font pas bon ménage et il ne voulait pas que cette soirée s’arrête brutalement. Il savait qu’il allait devoir faire la part des choses entre ce que sa bite voulait faire et ce que le bon sens lui dictait de faire.
« Allez, prends cette bite », dit-il en sifflant. « Montre-moi ce que tu as. Allez, fais bouger ta tête d’avant en arrière sur ma bite. »
Il a continué à faire de petites poussées avec les hanches pour qu’elle la prenne. Elle balançait sa tête d’avant en arrière sur sa bite de façon experte, tout en continuant à en saisir la base avec sa main droite.
« Branle-la avec ta main pendant que tu travailles ta bouche », dit David. « Oui, c’est ça. Maintenant, essaie d’en prendre plus. »
Et sur ce, il a appuyé sur l’arrière de sa tête, lui en faisant prendre davantage, tout en faisant attention à ne pas la bâillonner et la faire vomir. Elle appuya un peu plus fermement sa main gauche sur sa cuisse droite, essayant de le retenir un peu. Elle en a laissé entrer autant qu’elle le pouvait, ses lèvres s’enroulant fermement autour de son énorme bite. Hilarie l’a maintenue pendant quelques secondes, puis s’est retirée.
« Hé, essayons autre chose », dit Simon.
Il l’a soulevée de ses genoux pour qu’elle soit debout.
« Regardons ce corps », dit-il.
Simon et David savaient tous deux qu’en continuant 30 secondes de plus, ils auraient tous les deux joui. Il y avait des choses qu’ils voulaient apprécier avec cette fille sexy avant cela.
« Et si on enlevait ce haut ? » a demandé David. « Ça te pose un problème ? »
« Euh, non », a-t-elle répondu.
Hilarie était très excitée. Toute inquiétude au sujet de Thierry n’était plus apparente.
David a soulevé son haut au-dessus de sa tête, l’a jeté par terre et a pris ses seins par-dessus son soutien-gorge. Simon a passé sa main droite sous sa jupe, a glissé sa main droite sous son string et s’est mis à frotter son clitoris. Elle a écarté un peu les pieds pour avoir un meilleur accès.
« Jolis seins, putain », dit David en se penchant pour lui lécher le cou. Pendant qu’il malaxait ses seins avec ses mains, il a descendu sa bouche jusqu’à son décolleté exposé et a léché ses deux seins dans un mouvement de va-et-vient. Elle a posé ses deux mains sur l’arrière de sa tête, craignant apparemment qu’il ne s’arrête. Comme il s’agissait d’un soutien-gorge à fermeture frontale, il l’a facilement défait et l’a fait glisser hors de ses bras pour le jeter à côté de son haut sur le sol.
« Regarde ce qu’on a là », dit Simon tout en lui frottant la chatte. « Très joli. »
Simon et David se sont tous les deux penchés pour prendre ses seins dans leur bouche. Simon le droit, David le gauche. David a fait le tour de son mamelon avec sa langue. Simon a donné quelques coups de langue puis a retiré sa bouche. Les avoir tous les deux en même temps, c’était un peu encombrant. Pour l’instant, il se contente de frotter sa chatte humide et de regarder David lui donner un coup de langue.
David a fait des allers-retours entre ses seins, les tonguant, les suçant, les malaxant avec ses mains.
« C’est bien », lui dit-il. « J’adore ces seins ».
« Tes jambes sont fatiguées ? » demande Simon. « Et si on t’enlevait cette jupe et que tu t’allongeais sur le lit, hein ? ».
Sur ce, il a facilement enlevé la jupe de Hilarie et lui a donné un petit coup de coude pour qu’elle s’allonge sur le lit. Simon est monté sur le lit à genoux et s’est agenouillé à côté de la tête de Hilarie, sur son côté droit. Il a fait glisser sa bite encore dure dans le sens de la longueur sur sa bouche et elle a ouvert la bouche pour la lécher au fur et à mesure qu’elle glissait. Il a utilisé sa main droite pour frotter ses seins.
David s’est abaissé entre ses jambes. Il a vu à quel point elle était bien rasée, les jambes et la chatte. Il a passé sa langue de la mi-cuisse de sa jambe gauche jusqu’à sa chatte, puis sur la partie inférieure de son ventre. Il a fait le tour de son autre côté et a passé sa langue le long de sa cuisse droite jusqu’à juste au-dessus de son genou. Il a posé chacune de ses mains sur l’intérieur de ses cuisses pour les écarter un peu plus. Puis il a remonté sa cuisse droite jusqu’à sa chatte, en passant légèrement sur les lèvres de sa chatte et sur son clitoris.
Simon observe Hilarie qui laisse échapper un doux gémissement. La bouche de David était enfouie dans son entrejambe, sa langue encerclant son clito avec la sienne remontée pour écarter les lèvres de sa chatte, ce qui lui donnait une meilleure exposition au clito. Hilarie a porté ses mains à ses seins et les a serrés en regardant David. Cela a tellement excité Simon qu’il devait absolument avoir ces seins.
Il s’est approché des seins de la jeune fille et a d’abord caressé le téton droit, puis le téton gauche. Il a ajusté sa position pour pouvoir les saisir plus facilement dans chacune de ses mains pendant qu’il les léchait. Il a également pris soin de ne pas coller son cul au visage de David. Il y a une grande différence entre la vue de sa chatte et celle de son cul et il ne voulait pas gâcher le plaisir de qui que ce soit.
David a continué à s’amuser avec la chatte de Hilarie. De temps en temps, il passe sa langue le long de ses cuisses, la mordille un peu avec ses dents et remonte sa bouche jusqu’au bas de son ventre. Juste pour taquiner. Mais le plus souvent, il aimait utiliser le bout de sa langue et l’appliquer avec une certaine fermeté sur son clito, en en faisant le tour. Puis il le suçait. Hilarie réagissait également lorsqu’il léchait toute la longueur de sa chatte.
Pendant ce temps, Simon alternait les léchages et les succions appuyées sur ses seins. Elle avait une belle poitrine et il adorait les massacrer. Il aimait remonter sa bouche jusqu’à son cou et la mordiller, tout comme David le faisait avec ses cuisses.
Tout en faisant courir sa langue le long de l’ouverture de sa chatte, David a glissé jusqu’à ses fesses et a légèrement tongué l’ouverture de son trou du cul. Il a fait tourner sa langue autour de son trou du cul pendant que son pouce gauche frottait son clitoris. À ce moment-là, Hilarie a légèrement soulevé ses hanches du lit et a laissé échapper un gémissement très audible, puis elle a porté ses deux mains à l’arrière de la tête de David.
Sentant qu’elle était sur le point d’éjaculer, David s’est retiré et s’est installé, toujours entre ses jambes. « Tu es prête à baiser maintenant ? » a-t-il demandé. « Qu’est-ce que tu veux ? »
« Oui ! », a-t-elle répondu. « Baise-moi. »
Simon s’est alors déplacé davantage sur le côté, s’agenouillant à côté de sa tête. Il a secoué sa bite en regardant la suite du spectacle.
David a pris sa bite dure et enragée et a mis le bout sur sa chatte avec sa main droite. Il a tenu sa cuisse droite un peu plus ouverte. Il a fait glisser le bout de sa grosse bite dans sa chatte rapidement, puis l’a retirée. Il l’a taquinée en frottant le bout le long de l’ouverture de sa chatte.
« Dis-moi ce que tu veux », a-t-il dit en la regardant. « Allez, dis-moi ce que tu veux ! »
« Donne-moi cette bite ! » a-t-elle sifflé. « Baise-moi ! »
Sur ce, David a poussé vers l’avant, mettant environ la moitié de sa bite en elle. Il s’est retiré immédiatement et s’est enfoncé à nouveau au même endroit.
« Tu aimes ça ? » demande-t-il. « Hein ? Tu veux cette bite ? »
« Oui, donne-la moi ! »
Simon était tellement excité qu’il a placé sa bite jusqu’à sa bouche et a poussé sa tête vers elle. Hilarie a ouvert la bouche et Simon a glissé sa bite dans sa bouche, juste quelques centimètres. Sa langue a tourbillonné autour de la tête pendant que David poussait à nouveau vers l’avant, cette fois en enfouissant sa bite jusqu’à la garde.
« Mmmmmmmmmmmmm ! » gémit-elle autour de la bite dans sa bouche. La vibration de sa queue rendait Simon encore plus dur.
David a pris ses mollets dans chaque main et a tenu ses jambes plus haut et les a écartées un peu plus alors qu’il enfonçait sa bite en elle, enfouissant toute la longueur dans sa chatte incroyablement humide. Sachant qu’il pouvait jouir à tout moment, il s’est retiré.
« OK, Simon, c’est ton tour » et il s’est mis sur le côté.
Simon s’est éloigné du lit et a tiré les fesses de Hilarie jusqu’au bord. Il lui a tenu les jambes comme David l’avait fait et a glissé sa bite en elle facilement. Il lui a donné quelques courtes et rapides poussées, aimant à quel point elle était chaude et mouillée. Puis il l’a enfouie. Il n’était pas aussi long que David, mais il était quand même assez épais. Hilarie savait définitivement qu’elle avait une bite en elle.
« Ohhhhhhh ! », a-t-elle crié en attrapant ses seins. « Yesssss ! »
David s’est levé sur le lit et s’est agenouillé au-dessus d’elle pour qu’elle puisse lécher ses couilles.
« C’est ça », lui dit David. « Lèche ces couilles. »
Elle a sorti sa langue et les a léchées toutes les deux pendant que Simon enfonçait sa bite en elle. Il lui donnait tout, vite et fort. Son corps tremblait pendant qu’elle léchait les couilles de David avec sa bouche chaude.
« Mec, je pourrais jouir maintenant », dit Simon.
« Laisse-moi recommencer alors », a répondu David en se remettant rapidement en position.
Il a remis sa bite en elle et Simon est resté debout à regarder, en branlant sa bite.
« Mon Dieu, cette chatte est délicieuse », a dit David. « Homme oh homme. Dis-moi comment tu la veux. Comment veux-tu cette bite ? »
« Ohhh ! » a-t-elle crié. « Baise-moi à fond. Donne-la moi ! »
Il a remonté ses jambes sur ses épaules et s’est penché en avant, coinçant ses jambes en arrière par sa tête. Il a fait basculer sa bite en elle avec force, l’enfouissant. Le claquement de son ventre contre elle était rapide et furieux.
« Tu aimes ça ? » demande-t-il. « Tu aimes ça ? »
« Uhhh, huhhhh », c’est tout ce qu’elle a pu laisser échapper alors qu’elle prenait sa queue avec force et rapidité. Elle a déplacé ses mains autour de son cul, l’aidant à le tirer vers l’intérieur pendant qu’il poussait.
Simon restait là à regarder, stupéfait de voir à quel point cette fille était capable de baiser.
Il a décroisé les jambes de Hilarie et les a laissées tomber sur le côté pendant qu’il continuait à la baiser. Hilarie avait l’air plus chaude que l’enfer sous lui, prenant sa bite et l’adorant.
Après quelques minutes, il s’est retiré et a fait signe à Simon de reprendre le flambeau. Il ne voulait pas encore jouir.
Hilarie a écarté les jambes pour Simon et il a replongé sa bite dans la sienne.
« Ahhhhhhh ! » Hilarie a lâché. « Mon Dieu, ça fait du bien ! »
Simon est passé sous elle et a saisi ses fesses à deux mains, pour obtenir un meilleur effet de levier alors qu’il enfonçait sa bite dans sa chatte. Son corps bougeait fort à chaque poussée en elle. Il avait l’impression de devenir plus dur et plus gros à chaque poussée.
« OK, laisse-moi en reprendre », dit David en tapotant le dos de Simon.
Simon est descendu et David s’est agenouillé sur le lit. « OK, mets-toi sur moi », dit-il en se mettant sur le dos.
Elle s’est hissée et l’a chevauché, abaissant sa chatte jusqu’à sa bite qu’il tenait bien droite. Hilarie saisit le milieu de sa bite pour la stabiliser tandis que la tête disparaît dans sa chatte. Toute idée que David ou Simon auraient pu avoir d’être trop durs avec elle a disparu et elle s’est enfoncée dans l’énorme bite de David, la prenant entièrement dans sa chatte.
« Oh putain », gémit David. « Montez cette bite ! »
Il a tendu la main pour attraper ses seins pendant qu’elle le chevauchait, rebondissant de haut en bas, prenant toute la bite dans sa chatte. Puis elle s’est penchée un peu en arrière, continuant à faire monter et descendre sa chatte. Ses seins pendaient parfaitement comme ça et David et Simon adoraient ça.
David l’a tirée vers l’avant pour que sa tête soit à côté de la sienne et a attrapé son cul, écartant les fesses. Il a attiré l’attention de Simon et lui a fait signe avec sa tête. Simon a compris le signal et a grimpé sur le lit derrière elle.
« Tu veux essayer deux bites, Hilarie ? » demande David. « Hein ? Qu’est-ce que tu en dis ? »
« D’accord, mais tu dois y aller doucement. »
Simon a craché dans sa main droite et a massé un peu de « lubrifiant » dans son trou du cul. Il a glissé son majeur lubrifié en elle lentement et l’a guidé à l’intérieur et à l’extérieur plusieurs fois. Elle n’a pas résisté, alors il s’est dit qu’elle était prête. Il a pris la tête de sa bite et l’a positionnée sur son trou du cul. Puis il a appuyé sur la tête de sa bite pour la faire pénétrer. David continuait à enfoncer sa bite dans sa chatte tandis que Simon en glissait lentement dans son cul serré.
Elle n’a pas résisté lorsque Simon s’est retiré et a recommencé, son épaisse bite enfoncée à moitié dans son joli cul. Il a commencé à aller à l’unisson avec les poussées de David dans sa chatte, ne lui donnant toujours que la moitié.
« Tu aimes ça ? » demande Simon.
« Mmmm hmmmm », répond-elle doucement. Hilarie avait déjà pris une grosse bite dans son cul de la part d’un gars, alors ce n’était pas comme si c’était totalement nouveau. Mais quand même, une grosse bite dans le cul, c’est quelque chose auquel on ne s’habitue jamais complètement.
« Écarte tes fesses pour moi », dit Simon. « Allez. »
Sans mains pour la soutenir, elle a dû poser sa tête sur le lit à côté de celle de David pendant qu’elle mettait ses mains sur ses fesses.
« Maintenant, baisons un peu ! » dit Simon.
Sur ce, il l’a attrapée par les hanches et a continué à lui enfoncer les fesses. Il lui en donnait un peu plus à chaque poussée jusqu’à ce qu’il l’ait complètement pénétrée. David et Simon ont travaillé leurs poussées de façon à ce qu’une bite entre dans le cul de la fille et que l’autre en ressorte. Une fois que Simon a réussi à l’enfoncer complètement, il a accéléré le rythme et l’a fait un peu plus fort. David et lui étaient sur le point de jouir.
Hilarie a retiré ses mains de ses fesses et s’est relevée. Elle a commencé à se balancer en arrière sur eux, en s’y mettant vraiment. Elle gémit et répond à leurs poussées avec force. Hilarie était sur le point de jouir.
Thierry, voyant cela, a finalement fait son entrée. Il n’en pouvait plus. Il est monté sur le lit et a mis sa bite dure dans sa bouche et elle l’a prise. En gémissant, il a mis ses mains à l’arrière de sa tête et a commencé à lui baiser la bouche. Le fait d’ajouter un troisième homme au mélange ne semble pas du tout déranger Hilarie. Elle s’est laissée faire comme une championne.
Après 30 secondes pendant lesquelles Thierry a baisé sa bouche brûlante, elle a réussi à retirer sa bouche de sa bite et a dit : « Je jouis ! Oh, ne t’arrête pas ! Continue de me baiser ! Plus vite ! »
Thierry enfouit à nouveau sa bite en elle tandis qu’elle gémit sur sa queue. Simon et David se sont mis à la pousser très fort. Simon l’attrapait par les hanches, David avait les mains sur ses fesses.
Hilarie a tremblé quand elle a joui, elle a poussé fort une fois et a laissé David et Simon la pilonner. Les mains sur sa tête, ses hanches et son cul l’ont maintenue en place pendant que son orgasme arrivait. Les trois bites ont continué à la pilonner.
Lorsque son corps a cessé de trembler, Simon s’est retiré et l’a fait rouler sur le dos à côté de David. Il s’est agenouillé entre ses jambes tandis que David s’est levé et s’est agenouillé à sa droite. Thierry était au-dessus de sa tête. Ils ont secoué leurs bites sur elle et Simon a déversé sa charge en premier. Il a atterri juste entre ses seins et a coulé jusqu’à son nombril. N’ayant pas joui depuis une dizaine de jours, il avait accumulé une bonne dose de sperme. En voyant Simon s’épancher sur elle, la digue de David s’est également rompue. Il s’est jeté sur ses seins et sur ses mains qu’elle a serrées l’une contre l’autre. Simon s’est penché davantage vers l’avant et a tiré une autre charge sur sa gorge. David en a tiré une autre, cette fois sur sa joue droite et son nez.
Thierry n’en pouvait plus. Il s’est secoué fébrilement lorsque sa première décharge l’a frappée sur le front et le nez. Simon a ensuite enfoncé sa bite dans sa chatte et a penché sa tête en arrière alors qu’il finissait de jouir dans sa chatte. Il a déversé sa charge en elle pendant une minute de plus, tandis que David lui envoyait une autre décharge sur le visage et les seins, puis une autre. Thierry, quant à lui, visait sa bouche ouverte en lui envoyant deux autres charges.
Lorsqu’ils ont terminé, les mains et les seins couverts de plusieurs jets de sperme, la joue droite, le nez et le front couverts d’une grande quantité de sperme, et la bite de Simon enfouie dans sa chatte, ils se sont retirés du lit, incrédules devant ce qu’ils venaient de faire…